Sur la terre, un cratère de caractère
Tranchée dans le cru, coulées ténues
Cœur carbonisé, dans le tumulte attisé
Alerte à l’armure de la terre.
Alice
Sur la terre, un cratère de caractère
Tranchée dans le cru, coulées ténues
Cœur carbonisé, dans le tumulte attisé
Alerte à l’armure de la terre.
Alice
Aux couleurs de la marine tourmentée
Peut-être un départ des navires de la Royauté ?
La jeunesse sur le pont oublie l'enfance
Des contes antiques lors des veillées mystiques,
Des matinées d'ivresse au milieu des fleurs en parade après le déluge des pluies.
Angoisse des scènes à venir.
Sur le promontoire de leurs vies
Dévotion pour un fairy-nocturne
Le being beautous devant le vulgaire de la guerre.
Au soir barbare,
Le génie de la démocratie s'efface à raison.
Mouvement historique,
A l'heure H, au jour de la fête d'hiver, loin des métropolitains,
L'aube solde le bottom des espoirs.
Alice
http://www.francopolis.net/francosemailles/languetraversjuin07.htm
Eclats de vie
Sur le comptoir racontés
Langue désordre
Pose les traces
Et le chat de lisser
Ses poils sans sourciller
Indifférent au miroir brisé.
http://www.francopolis.net/francosemailles/languetraversavril07.html
La barque posée sur le sable, témoigne de ses blessures.
Elle décide un jour d'oublier ses fissures .
Quand elle eut quitté le doux rivage,
sur les flots délivre un gai babillage.
La trace profonde sur le sable, témoigne de ses blessures.
Alice
Sans les aubes-fleurs, les fleurs nocturnes
Où seraient les matinées d'ivresse
Sur le promontoire de la jeunesse ?
Qu'apporterait le mouvement de la vie
Avec sa raison, ses déraisons ?
Je crois au génie des contes, des veillées
Où se perdent les angoisses des jours barbares
Je crois aux soirs étoilés des nuits marine
Où parade la dévotion au souffle de l'esprit.
Alice
Mise en ligne de la dernière proposition d'écriture de Philippe Vallet, par Cécile Guiwarch. pour l'atelier d'écriture "la langue de travers"
http://www.francopolis.net/francosemailles/languetraversfev07.htm
où vous pourrez lire le texte suivant présenté parmi d'autres auteurs, j'avoue ma joie et mon plaisir :-)
Dans son habit passe-partout, le clown chic est bizarre.
Bizarre, son bijou comme un abricot mûr posé sur le revers de
sa veste. Sa veste longue d'un mètre sous ses genoux qui
tourbillonne avec lui dans une valse bancale. Quel bachi-bouzouk, on dirait
dans ce décor à l'ombre de Shéhérazade.
Alice