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1 juin 2008 7 01 /06 /juin /2008 17:21
free music



Suite du conte musical  : De retour chez elle, Zazie trouve dans sa boîte aux lettres, une carte postale d'Italie, toute heureuse, elle rêve devant les couleurs de la fontaine de Trévise, puis  une lettre de son ami Michel l'interroge :
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22 mai 2008 4 22 /05 /mai /2008 21:14
Suite du conte musical : Zazie est bien tentée par l'idée de Jacques de passer quelques jours sur
la Mer du Nord, mais pensive, elle réfléchit , quand surgit Maxime, un ami d'enfance, qui lui propose
sa maison bleue, dont il reste nostalgique.




C'est une maison bleue
Adossée à la colline
On y vient à pied, on ne frappe pas
Ceux qui vivent là, ont jeté la clé
On se retrouve ensemble
Après des années de route
Et l'on vient s'asseoir autour du repas
Tout le monde est là, à cinq heures du soir
San Francisco s'embrume
San Francisco s'allume
San Francisco, où êtes vous
Liza et Luc, Sylvia, attendez-moi

Nageant dans le brouillard
Enlacés, roulant dans l'herbe
On écoutera Tom à la guitare
Phil à la kena, jusqu'à la nuit noire
Un autre arrivera
Pour nous dire des nouvelles
D'un qui reviendra dans un an ou deux
Puisqu'il est heureux, on s'endormira
San Francisco se lève
San Francisco se lève
San Francisco ! où êtes vous
Liza et Luc, Sylvia, attendez-moi

C'est une maison bleue
Accrochée à ma mémoire
On y vient à pied, on ne frappe pas
Ceux qui vivent là, ont jeté la clef
Peuplée de cheveux longs
De grands lits et de musique
Peuplée de lumière, et peuplée de fous
Elle sera dernière à rester debout
Si San Francisco s'effondre
Si San Francisco s'effondre
San Francisco ! Où êtes vous
Liza et Luc, Sylvia, attendez-moi



Maxime Le Forestier


http://www.paroles.net





free music
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31 mars 2008 1 31 /03 /mars /2008 17:20

Zazie a envie de prendre des vacances. Beaucoup d'émotions ces derniers mois.
 Mais où aller ? jacques vient la chercher après son travail. Il la trouve très pâle. Elle lui confie ses projets. Il n'hésite pas une seconde !


Avec la mer du Nord pour dernier terrain vague
Et des vagues de dunes pour arrêter les vagues
Et de vagues rochers que les marées dépassent
Et qui ont à jamais le cœur à marée basse
Avec infiniment de brumes à venir
Avec le vent de l'est écoutez-le tenir
Le plat pays qui est le mien

Avec des cathédrales pour uniques montagnes
Et de noirs clochers comme mâts de cocagne
Où des diables en pierre décrochent les nuages
Avec le fil des jours pour unique voyage
Et des chemins de pluie pour unique bonsoir
Avec le vent d'ouest écoutez-le vouloir
Le plat pays qui est le mien

Avec un ciel si bas qu'un canal s'est perdu
Avec un ciel si bas qu'il fait l'humilité
Avec un ciel si gris qu'un canal s'est pendu
Avec un ciel si gris qu'il faut lui pardonner
Avec le vent du nord qui vient s'écarteler
Avec le vent du nord écoutez-le craquer
Le plat pays qui est le mien

Avec de l'Italie qui descendrait l'Escaut
Avec Frida la Blonde quand elle devient Margot
Quand les fils de novembre nous reviennent en mai
Quand la plaine est fumante et tremble sous juillet
Quand le vent est au rire quand le vent est au blé
Quand le vent est au sud écoutez-le chanter
Le plat pays qui est le mien.

Jacques Brel


http://www.paroles.net/chanson/20197.1

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18 octobre 2006 3 18 /10 /octobre /2006 10:07

Suite du conte musical : Zazie s'éloigne, toujours perdue dans ses pensées. Elle passe devant la façade d'un immeuble, un peintre, tout à son travail de longue haleine, chante dans l'air ensoleillé de ce printemps.  Les paroles de la  chanson lui rappelle son enfance. La voix joyeuse   du jeune homme l'invite à sourire.

 

 


{Refrain:}
Comm' Paris
Rime avec esprit,
Comm' la Seine
Rime avec Verlaine
Comme' Nogent
Avec le printemps,

Toi,
Tu rimes avec moi.
Comm' Passy
Rime avec souci;
Comm' Auteuil
Rime avec orgueil,
Comm' Pigalle
Rime avec fringale,
Toi,
Tu rimes avec moi.
Cuba
Rime avec samba,
Pablo
Avec Picasso,
Muguet
Avec Premier Mai
Mais ...
Comm' Paris
Rime avec esprit,
Comm' la Seine
Rime avec Verlaine
Comme' Nogent
Avec le printemps,
Toi,
Tu rimes avec moi.
Petite rime,
O ma petite rime,
Tu es câline
Et tell'ment féminine.

{Refrain:}
Comm' jolie
Rime avec folie,
Comm' un ange
Rime avec étrange,
Comm' la mousse
Avec ta peau douce,


Toi,
Tu rimes avec moi.
Comm' l'amour
Rime avec toujours,
Comm' plus tard
Rime avec trop tard,
Comm' pas riche
Avec on s'en fiche,
Toi,
Tu rimes avec moi.
Ton corps
Rime avec encor'
Tes yeux
Avec merveilleux
Demain
Et main dans la main,
Viens !
Comm' jolie
Rime avec folie,
Comm' un ange
Rime avec étrange,
Comm' la mousse
Avec ta peau douce,
Toi,
Tu rimes avec moi.

Petite rime
Veux-tu que l'on s'égare
Dans un abîme
De poésie bizarre ?

{Refrain:}
Comm' Paris
Rime avec la Seine,
Comm' Verlaine
Rime avec son ange,
Comm' la mousse
Avec le printemps,
Toi,
Tu rimes avec moi,
Comm' fringale
Rime avec pas riche,
Comm' Pigalle
Rime avec Nogent
Comm' plus tard
Avec on s'en fiche,
Toi,
Tu rimes avec moi.
Samba
Rime avec muguet
Ton corps
Avec Picasso
Demain
Avec Premier Mai,
Viens !
Comm' Paris
Rime avec Verlaine
Comm' Verlaine
Rime avec toujours,
Comm' toujours
Avec mon amour,
Toi,
Tu rimes avec moi !
Toi ! ... 

 

 

 

Jean Constantin

 

http://www.paroles.net/

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14 mars 2006 2 14 /03 /mars /2006 10:24

Autour de Barbara, se présentent les chanteurs ; après Cali, Pierre Vassiliu, Daniel Balavoine, chacun, leurs caractères, leurs personnalités...Robert Charlebois arrive sur ces entrefaites !

 

Près d’eux, (ils ne l’ont pas remarquée),   assise sur un banc,  Zazie dévoile ses pensées.

 

SUR TOI


J'écris sur ce que j'endure
Les petites morts, sur les blessures
J'écris ma peur
Mon manque d'amour
J'écris du coeur
Mais c'est toujours

Sur ce que je n'ai pas pu dire
Pas pu vivre, pas su retenir
J'écris en vers
Et contre tous
C'est toujours l'enfer
Qui me pousse

A jeter l'encre sur le papier
La faute sur ceux qui m'ont laissée
Ecrire, c'est toujours reculer
L'instant où tout s'est écroulé

On n'écrit pas
Sur ce qu'on aime
Sur ce qui ne pose pas
Problème
Voilà pourquoi
Je n'écris pas
Sur toi
Rassure-toi

J'écris sur ce qui me blesse
La liste des forces qu'il me reste
Mes kilomètres de vis manquée
De mal en prose, de vers brisés

J'écris comme on miaule sous la lune
Dans la nuit, je trempe ma plume
J'écris l'abcès
J'écris l'absent
J'écris la pluie
Pas le beau temps

J'écris ce qui ne se dit pas
Sur les murs, j'écris sur les toits
Ecrire, c'est toujours revenir
A ceux qui nous ont fait partir

On n'écrit pas qu'on manque de rien
Qu'on est heureux, que tout va bien
Voilà pourquoi
Je n'écris pas
Sur toi
Rassure-toi

J'écris quand j'ai mal aux autres
Quand ma peine ressemble à la votre
Quand le monde me fait le gros dos
Je lui fais porter le chapeau

J'écris le blues indélébile
Ça me paraît moins difficile
De dire à tous plutôt qu'à un
Et d'avoir le mot de la fin

Il faut qu'elle soit partie déjà
Pour écrire " ne me quitte pas "
Qu'ils ne vivent plus sous le même toit
Pour qu'il vienne lui dire qu'il s'en va

On n'écrit pas la chance qu'on a
Pas de chanson d'amour quand on en a
Voilà pourquoi, mon amour
Je n'écris rien
Sur toi
Rassure-toi

 

 

ZAZIE

 

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24 février 2006 5 24 /02 /février /2006 16:17

 

Autour de Barbara, se présentent les chanteurs ; après Cali, Pierre Vassiliu, Daniel Balavoine, chacun, leurs caractères, leurs personnalités...Robert Charlebois arrive sur ces entrefaites !

 

 

ORDINAIRE 

 

Je suis un gars ben ordinaire
Des fois j'ai pu l'goût de rien faire
J'fumerais du pot, j'boirais de la bière
J'ferais de la musique avec le gros Pierre
Mais faut que j'pense à ma carrière
Je suis un chanteur populaire

Vous voulez que je sois un Dieu
Si vous saviez comme j'me sens vieux
J'peux pu dormir, j'suis trop nerveux
Quand je chante, ça va un peu mieux
Mais ce métier-là, c'est dangereux
Plus on en donne plus l'monde en veut

Quand j'serai fini pis dans la rue
Mon gros public je l'aurai pu
C'est là que je m'r'trouverai tout nu
Le jour où moi, j'en pourrai pu
Y en aura d'autres, plus jeunes, plus fous
Pour faire danser les boogaloos

J'aime mon prochain, j'aime mon public
Tout ce que je veux c'est que ça clique
J'me fous pas mal des critiques
Ce sont des ratés sympathiques
J'suis pas un clown psychédélique
Ma vie à moi c'est la musique

Si je chante c'est pour qu'on m'entende
Quand je crie c'est pour me défendre
J'aimerais bien me faire comprendre
J'voudrais faire le tour de la terre
Avant de mourir et qu'on m'enterre
Voir de quoi l'reste du monde a l'air

Autour de moi il y a la guerre
Le peur, la faim et la misère
J'voudrais qu'on soit tous des frères
C'est pour ça qu'on est sur la terre
J'suis pas un chanteur populaire
Je suis rien qu'un gars ben ordinaire

 

 

 

 

Robert Charlebois

http://www.paroles.net

 

 

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23 janvier 2006 1 23 /01 /janvier /2006 10:39

Je m'présente, je m'appelle Henri
J'voudrais bien réussir ma vie, être aimé
Etre beau gagner de l'argent
Puis surtout être intelligent
Mais pour tout ça il faudrait que j'bosse à plein temps

J'suis chanteur, je chante pour mes copains
J'veux faire des tubes et que ça tourne bien, tourne bien
J'veux écrire une chanson dans le vent
Un air gai, chic et entraînant
Pour faire danser dans les soirées de Monsieur Durand

Et partout dans la rue
J'veux qu'on parle de moi
Que les filles soient nues
Qu'elles se jettent sur moi
Qu'elles m'admirent, qu'elles me tuent
Qu'elles s'arrachent ma vertu

Pour les anciennes de l'école
Devenir une idole
J'veux que toutes les nuits
Essoufflées dans leurs lits
Elles trompent leurs maris
Dans leurs rêves maudits

Puis après je f'rai des galas
Mon public se prosternera devant moi
Des concerts de cent mille personnes
Où même le tout-Paris s'étonne
Et se lève pour prolonger le combat

Et partout dans la rue
J'veux qu'on parle de moi
Que les filles soient nues
Qu'elles se jettent sur moi
Qu'elles m'admirent, qu'elles me tuent
Qu'elles s'arrachent ma vertu

Puis quand j'en aurai assez
De rester leur idole
Je remont'rai sur scène
Comme dans les années folles
Je f'rai pleurer mes yeux
Je ferai mes adieux

Et puis l'année d'après
Je recommencerai
Et puis l'année d'après
Je recommencerai
Je me prostituerai
Pour la postérité

Les nouvelles de l'école
Diront que j'suis pédé
Que mes yeux puent l'alcool
Que j'fais bien d'arrêter
Brûleront mon auréole
Saliront mon passé

Alors je serai vieux
Et je pourrai crever
Je me cherch'rai un Dieu
Pour tout me pardonner
J'veux mourir malheureux
Pour ne rien regretter
J'veux mourir malheureux

    Daniel Balavoine

http://www.paroles.net


Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a, qui c'est celui-là ?
Complètement toqué, ce mec-là, complètement gaga
Il a une drôle de tête ce type-là
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a ?
Et puis cha bagnole les gars
Elle est drôlement bizarre les gars
ça s'passera pas comme ça.

1. Je ne suis pas un play boy, je ne paie pas de mine,
Avec ma grosse moustache et mon long nez de fouine
Mais je ne sais pas pourquoi quand je souris aux filles
Elles veulent toujours m'emmener coucher dans leur famille
Et leurs maris disent de moi...
{au Refrain}

2. Ce n'est pas ma faute à moi si les femmes mariées
Préfèrent sortir avec moi pour jouer à la poupée
Elles aiment mes cheveux blonds et mes yeux polissons
Mais je crois qu'ce qu'elles préfèrent c'est mon p'tit ventre rond
Et leurs maris disent de moi...
{au Refrain}

3. Si vous saviez comme c'est beau, d'être bien dans sa peau
Je bois mon pastis au bar avec le chef de gare
Je me gare n'importe où j'vous jure que j'suis heureux
Mais ça emmerde les gens quand on vit pas comme eux
Et les gens disent de moi...
{au Refrain}

4. Voyant que sur cette terre tout n'était que vice
Et que pour faire des affaires je manquais de malice
Je montai dans mon engin interplanétaire
Et je ne remis jamais les pieds sur la terre.
Et les hommes disent de moi...
{au Refrain}

Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a, qui c'est celui-là ?
Il a un drôle d'accent ce gars-là
L'as une drôle de voix
On va pas se laicher faire les gars
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a
Non mais cha va pas, mon p'tit gars
On va l'mettre en prison ce type-là
S'il continue comme ça.

 


   Pierre Vassiliu

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17 janvier 2006 2 17 /01 /janvier /2006 16:32

Un beau jour, ou peut-être une nuit,
Près d'un lac je m'étais endormie,
Quand soudain, semblant crever le ciel,
Et venant de nulle part,
Surgit un aigle noir,

Lentement, les ailes déployées,
Lentement, je le vis tournoyer,
Près de moi, dans un bruissement d'ailes,
Comme tombé du ciel,
L'oiseau vint se poser,

Il avait les yeux couleur rubis,
Et des plumes couleur de la nuit,
A son front brillant de mille feux,
L'oiseau roi couronné,
Portait un diamant bleu,

De son bec il a touché ma joue,
Dans ma main il a glissé son cou,
C'est alors que je l'ai reconnu,
Surgissant du passé,
Il m'était revenu,

Dis l'oiseau, ô dis, emmène-moi,
Retournons au pays d'autrefois,
Comme avant, dans mes rêves d'enfant,
Pour cueillir en tremblant,
Des étoiles, des étoiles,

Comme avant, dans mes rêves d'enfant,
Comme avant, sur un nuage blanc,
Comme avant, allumer le soleil,
Etre faiseur de pluie,
Et faire des merveilles,

L'aigle noir dans un bruissement d'ailes,
Prit son vol pour regagner le ciel,

Quatre plumes couleur de la nuit
Une larme ou peut-être un rubis
J'avais froid, il ne me restait rien
L'oiseau m'avait laissée
Seule avec mon chagrin

Un beau jour, ou peut-être une nuit,
Près d'un lac, je m'étais endormie,
Quand soudain, semblant crever le ciel,
Et venant de nulle part,
Surgit un aigle noir,

Un beau jour, une nuit,
Près d'un lac, endormie,
Quand soudain,
Il venait de nulle part,
Il surgit, l'aigle noir...

                       

                        Barbara

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C'est quand le bonheur ?

Je suis pendu à vos lèvres
espérant le mot, espérant le oui
qui sauverait ma vie
je suis pendu au téléphone
mais qu'y a-t-il de plus moche ?
au téléphone, aphone qui sonne et personne qui ne décroche
je suis pendu à votre cou, dans le plus beau de mes rêves
mais je ne me réveille jamais près de vous
et j'en crève
je suis pendu sous vos fenêtres au pied de l'arbre
peut-être demain la petite fleur qui va naître
vous racontera mon chagrin

c'est quand le bonheur ? {x8}

je suis pendu à cet espoir que vous m'avez soldé
je suis presque sur l'autre soir c'est moi que vous avez regardé
je suis pendu par les pieds, tout rouge et le souffle coupé
à chaque fois que le hasard me dépose devant votre nez
je suis pendu à la cravate dans mon costume crog macabé
il parait que vous faiblissez devant les hommes bien habillés
je suis tendu c'est aujourd'hui que je viens vous offrir ma vie
peut-être oserais-je parler à quelqu'un d'autre qu'à mes pieds

c'est quand le bonheur ? {x8}

et puis ce goût amer est venu tapissé ma bouche
je viens de conquérir son coeur mais c'est louche
car qui ne peut ses vieux amours, c'est quand parle l'amour
aussitôt qu'on le gagne, décidément c'est pas facile tous les jours

c'est quand le bonheur ? {x8}

 

                          Cali

           

http://www.paroles.net/

 

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