23 avril 2007
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Sans les aubes-fleurs, les fleurs nocturnes
Où seraient les matinées d'ivresse
Sur le promontoire de la jeunesse ?
Qu'apporterait le mouvement de la vie
Avec sa raison, ses déraisons ?
Je crois au génie des contes, des veillées
Où se perdent les angoisses des jours barbares
Je crois aux soirs étoilés des nuits marine
Où parade la dévotion au souffle de l'esprit.
Alice