Poésie du Jeudi chez les Croqueurs de Mots, thème proposé par Lenaig
L’Homme de la Mancha est une comédie musicale américaine, livret de Dale Wasserman et musique de Mitch Leigh, inspirée du roman de Miguel de Cervantès, Don Quichotte. Elle relate à la fois la vie de Don Quichotte et celle de Cervantès.
Écoute-moi
Pauvre monde, insupportable monde
C'en est trop, tu es tombé trop bas
Tu es trop gris, tu es trop laid
Abominable monde
Écoute-moi
Un Chevalier te défie
Oui c'est moi, Don Quichotte
Seigneur de la Mancha
Pour toujours au service de l'honneur
Car j'ai l'honneur d'être moi
Don Quichotte sans peur
Et le vent de l'histoire chante en moi
D'ailleurs qu'importe l'histoire
Pourvu qu'elle mène à la gloire
Et moi je suis Sancho
Sancho, Sancho, son valet, son fils, son frère
Sancho, son seul amigo
Son seul suivant mais pour toujours et j'en suis fier
Regardez-moi
Vous les dragons, les sorciers, les sorcières
Votre règne se meurt aujourd'hui
Regardez-moi
La vertu flambe dans ma bannière
Regardez-moi
Un Chevalier vous défie
Oui c'est moi, Don Quichotte
Seigneur de la Mancha
Pour toujours au service de l'honneur
Car j'ai l'honneur d'être moi
Don Quichotte sans peur
Et le vent de l'histoire chante en moi
D'ailleurs qu'importe l'histoire
Pourvu qu'elle mène à la gloire
Et moi je suis Sancho
Sancho, Sancho, son valet, son fils, son frère
Sancho, son seul amigo
Son seul suivant mais pour toujours et j'en suis fier
Hair est une comédie musicale rock de James Rado et Gerome Ragni (paroles) et de Galt MacDermot (musique) jouéeen 1967 , à Broadway. Créée à Paris , au théâtre de la Porte Saint-Martin le 30 mai 1969, dans une version française , textes et chansons de Jacques Lanzmann.
Hair raconte l’histoire d’une « tribu », un groupe de hippies politiquement actifs. Ils vivent une vie de bohème dans New York City et se battent contre la conscription pour la guerre du Vietnam. L’amour, la révolution sexuelle, leur rebellion contre la guerre sont les thèmes de cette pièce.
On se guette,
Traqués, à bout de souffle
Marchant
Pétrifiés dans nos manteaux
D'hiver
Refoulés aux frontières du mensonge
Des nations qui crèvent.
Tués par des rêves chimériques
Ecrasés de certitudes
Dans un monde glacé de solitude
Savoir
Si quelque part il y a
L'espoir
D'être un jour les enfants
Du hasard
Je vois ma vie projeter
Son futur dans l'espace
Et le silence me répond,
En secret
(parlé) Mon coeur j'ai l'impression de mourir.
Manchester england
Manchester england
Au bout de l'atlantique,
je suis un génie, génie
Et je crois en Dieu,
et je crois que Dieu
En Claude a foi
Et Claude
c'est moi, c'est moi
Choeur :
On se guette,
Traqués, à bout de souffle
Marchant
Pétrifiés dans nos manteaux
D'hiver
Refoulés aux frontières du mensonge
Des nations qui crèvent.
Tués par des rêves chimériques
Ecrasés de certitudes
Dans un monde glacé de solitude
Chantons
Nos rêves d'espoir sur un sitar
Sitar
De toiles d'araignées
Et chantons
La vie qui est en nous et autour
De nous
Laissons, laissons, entrer le soleil
Laissons, laissons, entrer le soleil
Laissez, laissez entrer le soleil
Laissez, laissez entrer le soleil
Let the sun shine
Let the sun shine in
Let the sun shine in
Let the sun shine ....
Starmania est un opéra rock franco-québécois composé par Michel Berger et les paroles rédigées par Luc Plamondon, représentée en 1979 au Palais des Congrès à Paris.
Dans un futur proche, l’Occident n'est plus qu'un seul pays. Dans ce monde où planent les spectres du terrorisme et du totalitarisme, trois histoires d'amour sont vécues en parallèle. Chacun aura à décider de ce qu'il fera de sa vie.
On dort les uns contre les autres
On vit les uns avec les autres
On se caresse, on se cajole
On se comprend, on se console
Mais au bout du compte
On se rend compte
Qu'on est toujours tout seul au monde
On danse les uns avec les autres
On court les uns après les autres
On se déteste, on se déchire
On se détruit, on se désire
Mais au bout du compte
On se rend compte
Qu'on est toujours tout seul au monde
On dort les uns contre les autres
On vit les uns avec les autres
On se caresse, on se cajole
On se comprend, on se console
Mais au bout du compte
On se rend compte
Qu'on est toujours tout seul au monde
On danse les uns avec les autres
On court les uns après les autres
On se déteste, on se déchire
On se détruit, on se désire
Mais au bout du compte
On se rend compte
Qu'on est toujours tout seul au monde
Au bout du compte
On se rend compte
Qu'on est toujours tout seul au monde
Toujours tout seul au monde
J’ai assisté à ces trois comédies musicales dans leur première distribution.
Elles ont marqué ma jeunesse. Trois représentations différentes du monde ,
la première, œuvre littéraire et romanesque,
les deux suivantes, proches de la réalité des périodes avec leurs inquiétudes
du monde à venir.
Alice